Pentère grecque (lance-projectiles), Frondeurs bretons

Coût de recrutement 990
Coût d'entretien 198
Dégâts des tirs 23
Portée 150
Tirs par minute 7
Intégrité du navire 880
Vitesse du navire 3
Attaque en mêlée 8
Dégâts des armes 24
Défense en mêlée 37
Armure 25
Santé 50
Forces & Faiblesses
  • Résistance de la coque moyenne
  • Équipage moyen
  • Vitesse moyenne
  • Éperonnage moyen
  • Abordage mauvais
  • Bon combat à distance
  • Très longue portée
  • Cadence de tir moyenne
  • Dégâts faibles mais pénétration d'armure moyenne
  • Très faible en mêlée
  • Très mauvais moral
Description

Le « cinq », appelé quinquérème en latin et pentère en grec, était un bateau d'abord utilisé par les Syracusains contre les Carthaginois aux alentours de 398 av. J.-C. Comme les autres polyrèmes, terme signifiant à plusieurs rames, les chances sont qu'il n'avait pas cinq rangs de rames mais que le mot rame voulait en fait indiquer rameur. Dans un tel cas, l'arrangement des rameurs aurait été de 2-2-1 en partant de la ligne de flottaison. Il est logique de garder le poids le plus bas possible pour garder toute stabilité. Un centre de gravité trop haut rend un bateau susceptible de chavirer si touché sur un côté. Ainsi, le quinquérème était un navire impressionnant à la fois en termes d'apparence et en valeur au combat. Avec un contingent de combat important à bord, ainsi que beaucoup d'espace, ce bateau lourd pouvait faire face à la plupart des ennemis et des menaces.

En ce qui concernait les Celtes, la meilleure façon de tuer un homme était en combat au corps-à-corps. Les Celtes valorisaient le courage individuellement et il n'y avait pas d'honneur à tuer à distance. Malgré cela, les frondeurs, les soldats à javelots et les archers avaient toujours leur place sur le champ de bataille. C'était souvent la seule façon dont certains Celtes pouvaient partir en guerre : les guerriers celtes achetaient leur propre équipement. Ainsi, seuls les riches pouvaient se permettre, ou avaient le droit de porter des armures et des armes de qualité. Les tirailleurs étaient souvent pauvres : des hommes libres qui servaient de clients pour la classe noble. Alors qu'ils ne pourraient jamais espérer acquérir le même statut que leurs nobles maîtres, ils pouvaient toujours prouver leur valeur dans le cœur de la bataille.

Disponibilité de la faction